vendredi 27 décembre 2013

ils nous ont quitté en 2013



A

Aroccaria: "haro aux toits"
tempête de décembre 2013


                                       Loin ces rimeurs craintifs, dont l’esprit flegmatique
Garde dans ses fureurs un ordre didactique,
Qui, chantant d’un héros les progrès éclatants,
Maigres historiens, suivront l’ordre des temps.
Ils n’osent un moment perdre un sujet de vue :
Pour prendre Dôle, il faut que Lille soit rendue,
Et que leur vers, exact ainsi que Mézeray,
Ait fait tomber déjà les remparts de Courtray.
 
BOILEAU, Art. Poét. Ch. II

Les cantons

Rappelons nous ce qui avait présidé la formation des cantons il y a 200 ans, c'était de pouvoir faire l'aller retour à pied dans la journée pour les communes les plus éloignées . Pour les sous préfecture, c'était l'aller retour à cheval dans la journée.

jeudi 17 octobre 2013

La grande rue a travers le temps




 
 
 
Balisage circuit de la Suisse Normande.
 
La communauté de communes s’est réunie avec Flers et Athis-de-l’Orne pour baliser un projet de balisage de la Suisse Normande. Départ du balisage : Putanges Pont Ecrépin, en passant par Les Rotours, Sainte-Croix, Saint-Aubert, La Forêt Auvray, Saint-Philbert-sur-Orne, Segrie fontaine, Ménil-Hubert-sur-Orne, Pont-d’Ouilly, Condé-sur-Noireau, Montilly-sur-Noireau, Caligny, Cerisy-belle-Etoile, La Lande Patry, Flers, Ronfeugerey, Athis de l’Orne, Sainte-Honorine la Chardonne, Taillebois, La Carneille, Ste-Honorine la Guillaume, Ménil-Gondouin, Putanges Pont Ecrépin. Putanges Pont Ecrépin est concerné par la pose de deux panneaux.
 
 
"les petites cités de caractère de l’Orne"

1778 Procès de "civilisation" à la Carneille


le puit

 
Sous l’égide du bailly de la Carneille on trouve d’assez nombreux procès qui portent en marge "Civilisation".




"L’an mil sept cent soixante dix huit, le sixyeme jour d’avril, en la chambre du conseil, nous Guy Devaux, sieur de la motte, bailly vicontal civil et criminel de l’ancienne haute justice de la Carneille, juge de police et grenier dudit lieu, présence et assisté de Me Jean Lebailly des Monts,...




suite de l'artcivle sur http://dozeville.free.fr/spip.php?article269

Lessive d'autrefois et anciens lavoirs dans le bocage normand




Lavoir situé sur la rive de la Gine. Construction toute en pierre de granit. Toiture à un versant en tuiles anciennes, parfaitement conservé, il est le plus joli du bourg.



Chaque hameau possédait-il un lavoir ? Pas toujours. Les femmes du village se rendaient alors à la rivière proche pour le lavage hebdomadaire du linge familial.

Dans nos campagnes, « la grande buée » se pratiquait une ou deux fois dans l’année, selon l’importance du trousseau familial, au printemps et à l’automne, pendant quatre ou cinq jours, de préférence ensoleillés. 
On avait amassé au grenier, pendant plusieurs mois, le linge sali, au moins une cinquantaine de draps et torchons.
Au jour fixé pour « la grande buée » on remplissait une grande cuve d’une partie du linge, sans oublier « l’encharrois » rempli de cendres. 
Les plus appropriées devaient provenir d’arbres fruitiers, de branches de chêne, joncs et tiges de maïs. 
Il fallait 1 500 kg de cendre pour une buée de 100 kg.

Par ailleurs, on faisait bouillir de l’eau dans un grand chaudron pendu à la crémaillère.
 On versait l’eau dans la cuve à l’aide d’un godet à long manche, dit « pusseux » ou « videux » ; l’eau bouillante ainsi versée favorisait l’action saponifiante des cendres. Elle s’écoulait très lentement par un orifice situé au bas de la cuve et était récupérée dans un baquet. On recommençait l’opération jusqu’à ce que l’eau soit claire. 
Cette tâche pénible qui durait trois jours était confiée à un homme. Cette opération de coulage terminée, au jour suivant, les lavandières chargeaient le linge sur les brouettes et allaient au lavoir. 

Elles s’installaient, à genoux dans leur « carrosse » personnel, brossaient, frottaient et frappaient vigoureusement de leur battoir en bois le linge, ramassé en tas, pour en exprimer le reste de salissures. 
Puis on le rinçait à l’eau claire du bassin alimenté par une source d’eau courante. (...)

Vue aérienne

Vue aérienne couleur de La Carneille








photo prise le jour de la fête






       vue satellite de 2011

vendredi 13 septembre 2013

la cohue de la Carneille



Le château, les prisons et la cohue de la Carneille ayant été incendié par les Anglais en 1356 ( R Leroy), ces deux derniers établissements, « la meson de la cohue et prisons  En 1453, la justice va se tenir dans des lieux privés, loués a cet effet. Ainsi on accorde à « Guillaume Trolley, bourgois de la Querneille, la somme de XXX s. t. pour le louage d'une sienne maison assise ou bourg dud. lieu  pour la juridiction des assise "et en quoy est le sep a metre les prisonniers...laquelle somme lui estoit deue par marché fait avec lui.


Siege de Bordeaux

Siege de Bordeaux en 1453


23 juillet 1453:
  Bataille de Gavre: Philippe le Bon bat les Gantois révoltés; la ville doit verser une énorme rançon, et ses privilèges sont diminués.


source : Archeologie Médiévale publié en 1975

jeudi 12 septembre 2013

Place du marché

le docteur René LEROY et La Carneille

Il faut saluer le travail remarquable de tous ces auteurs qui dans les publications comme le locale "Le Pays Bas-Normand " ont relaté l'histoire de La Carneille.

et nous pouvons souligné le grand travaille de l'historien René Leroy ...
René leroy

en 1914 / n° 2 (n° 26 Le Pays Bas-Normand) :


- A. SURVILLE, Les seigneurs des Tourailles (deuxième partie :
familles de Saint-Bômer et Le Villaye, Bertrand, Turgot, de
Prouverre, de Vaudichon, pièces justificatives 1362-1514)

en 1923 :
- René LEROY fait un article sur une maladrerie de La Carneille .

1924 :
- G. LEROY, fait étude généalogique sur " La maison de Poret de Bois-André".

1926 :
P. et R. LEROY, Le tabellionnage de La Carneille et ses tabellions .

(selon le tabellionage de la Forêt, en 1680, le Seigneur du Repas est Alexandre Sallet ,fils probable de Nicolas Sallet, décédé vers 1659).



 
1927 :
R. LEROY fait un article sur Le logis du Hamel Saint-Étienne

1928 :
R. LEROY fait une Considérations sur l’origine préhistorique de La Carneille et ses environs.

1930 :
R. LEROY fait la " Contribution à l’histoire de la seigneurie de Taillebois"

1931 :
R. LEROY, Considérations sur l’origine préhistorique de La Carneille et ses environs

1934 :
René Leroy.
Considérations sur les origines de l'homme dans la vallée de la Rouvre.
 La Carneille au pays des Suates de René Leroy

1934 / n° 2 (n° 56 Le Pays Bas-Normand) :
- dr R. LEROY, Étude sur le menhir du Repas. La droite pierre et l’origine du mot le Repas
- R. LEROY, Découverte d’une station mégalithique à Chênedouit (Orne). Le menhir des Buttes et la table des Fées

1935 / n° 2 (n° 58 Le Pays Bas-Normand) :


- R. LEROY, Découverte d’un silex de l’époque paléolithique à La Carneille
Le menhir de Cramesnil et ses cupules.

R. LEROY, La pierre druidesse du Bois-André et
Essai toponomastique et sémantique sur Chênedouit, Rouvrou et leurs communes limitrophes


 


1936 :

R. LEROY, Le village de Loisellerie. Documents inédits sur Landigou, La Selle et Échalou.



1937 à 41 :

René LEROY, La seigneurie des Moutiers (La Carneille), L’aînesse de Saint-Étienne, La Carneille,
Les aînés de Saint-Étienne.


1942
Statistique illustrée des monuments et oeuvres d'art religieux de la commune de La Carneille, Orne de René Leroy


1943 / n° 1 (n° 79 Le Pays Bas-Normand) :
- R. LEROY, Le village de l’Hodiesnière en Saint-Paul-sous-Flers.
Étude généalogique sur les familles Hodiesne, Le Maistre,
Duval, du Mesnil et Bertrand l’Hodiesnière.

1945:
René Leroy, Titres, écritures et enseignements de la vicomté, chatellenie et haute justice de La Carneille de René Leroy

1948 :
- R. LEROY, Magny-en-Durcet.

1949 :
- R. LEROY, Le fief noble du Plessis ou de l’Éperon doré.

1950/53
- R. LEROY, La bourgeoisie de La Carneille
1955 :
- R. LEROY, Contribution à l’étude de l’esprit révolutionnaire

dans l’arrondissement de Domfront entre 1789 et 1800
d’après la correspondance de Victor Bertrand à son père
Charles Bertrand l’Hodiesnière

1957
- R. JOUANNE, L’arrestation de Louis de Frotté.


Le Pays Bas-Normand

mercredi 12 juin 2013


journal de 1968


source Annabelle Leroy

dimanche 9 juin 2013

lundi 1 avril 2013

Expo

l'affiche


Une belle exposition à Alençon sur une industrie ornaise du verre jusqu'au 16 juin

qui  retrace l’histoire exceptionnelle de la verrerie ornaise, du Moyen Âge jusqu'à la crise des années Trente.

Flacon d'un Brasseur-Bouilleur de La Carneille

lundi 28 janvier 2013

Logis du Hamel St Etienne sous la neige

Le château se reflète sur l'eau
et la neige lui prête un manteau

Photo Nicole



dimanche 27 janvier 2013

Géobiologie et perturbations électromagnétiques

Participez à la Carneille Vendredi 1 er , samedi 2 février, de 10 h à 13 h et de14 h à 17 h.

 Des énergies circulent et vibrent dans les maisons et l'environnement. À partir d'exercices sur site, détecter l'influence d'une faille géologique, d'une rivière souterraine, de matériaux de construction.
 Payant. Réservation : 02 33 66 74 67, info@lesavoirfaire.fr, www.lesavoirfaire.fr
la géobiologie, avec les baguettes de sourcier et/ou l'antenne de Lecher ça sert à détecter les perturbations électromagnétiques d'origine naturelle : failles, veines d'eau, réseaux Harmann, Curry...
Il y a aussi un appareil qui détecte et mesure les perturbations électromagnétiques d'origine artificielle (les hautes fréquences provenant des antennes relais, WiFi, WiMax, téléphones portables, bluetooth, téléphones sans fil DECT, fours micro-ondes, consoles de jeux avec manettes sans fil...)

Et aussi les perturbations basses fréquences provenant du courant 50 Hz sous forme de champs électriques et magnétiques rayonnés par les rallonges électriques, les cloisons et planchers en bois, en plâtre, les systèmes d'éclairage, les lignes haute tension, les plaques de cuisson...



les explications sur la Géobiophysique®. C'est le regroupement de deux termes : la biophysique (voie de recherche fondamentale) et la géobiologie (activité de terrain, harmonisation des lieux).
Dans la pratique, c'est l'idée de considérer non seulement l'environnement, mais également les personnes. Parce que les rayonnements électromagnétiques, qu'ils soient naturels ou artificiels, ont forcément un impact sur le vivant.
Un praticien en Géobiophysique®, il est trop fort : il va détecter les perturbations énergétiques des lieux et des personnes, en rechercher leurs causes et apporter des solutions qui éviteront que les cellules du corps entrent en résonnance avec les perturbations électromagnétiques extérieures et permettront donc un retour à l'équilibre énergétique.
Au Moyen-Âge et même bien avant les sourciers utilisaient la baguette en bois de coudrier pour rechercher des sources ou des ... trésors !

Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, la découverte de l'eau relevait de la sphère divine


mercredi 16 janvier 2013

Les maires de la Carneille de 1790 à nos jours

Madame Pansin a remis un tableau à la commune représentant tous les maires de la Carneille de 1790 à nos jours fruit de ses recherches. Il est accroché dans la salle du conseil